Le 30 spetrain,
Nous avons vogué toute la nuit, puis accosté sur un terre aux immenses arbres, je n'en sais pas plus sur ce qu'il vient chercher ici, Erevain est resté silencieux apres la venue de l'homme au cheveux blanc, un homme d'Arkans, encore un.
Apres etre descendus de nos bateau respectif, je vis un jeune homme qui correspondait à la description du jeune capitaine.
Il était accompagné d'un homme panthère, vraiment impressionant, que les villageois de syrup town avait pris pour Arkans et d'une femme, brune, cheveux mis long, deux bande guerriere était dessinées sur son visage.
C'étais surement elle dans les écrits d'Erevain qu'il avait pensé etre, à son tour, le chef de ce groupe.
Celui qui me semblait etre Arkans s'approcha de moi, mit sa main sur mon épaule et murmura :
Tu es venu jusqu'ici, tu es donc le digne élève de mon prisonnier..
Il parlait sans nul doute d'Erevain, mais comme un prisonnier.
Tu peux lui dire merci, sans lui tu ne serais ni en vie, ni proche de découvrir ... disons d'autres choses exceptionnelles, tu connaitras les détails bien assez tot. De toute façon je pense que ton arrivée à skypea prouve bien que je ne te mens pas.
Désolé pour tes hommes qui ne vois pas en ce voyage et malgrè cette captivité, une aubaine scientifique.
Mais apres tout, tu as toi meme pris des risque en me poursuivant, et maintenant tu es bloqué ici.
Il se retourna, fit un petit geste de la main et tres vite tout un tas de ses hommes, dans un étrange acoutrement ou peut etre armure, déscendirent apportant des objets de science de toute sorte. Il reprit tout en s'approchant des objets :
Allons tu sais te servir de ce genre de choses, mes hommes vont te donner tes consignes.
Mais j'étais figé, j'avais peut etre découvert le visage d'Arkans mais je savais que je ne pourrais surement jamais revenir vivant et donc faire partager mes découvertes, qu'elle fou me croierai de toute façon...
Arkans se retourna et éleva la voix vers moi :
Je t'ai laissé la vie sauve, en échange qu'atends-tu pour nous aider ?
Je fis donc ce qu'il me demandai, pendant quelques heures je me servais des machines avec les consignes que ses hommes me donnait, certaines de typographie, d'autres de tension. Des machines de tension ? me dit-je, sur une ile qui semblait sauvage... encore un mystère.
De plus Erevain n'était lui pas descendu du bateau sur lequel il était monté aores notre arrivé, c'était pourtant lui aussi un scientifique.
Il semblerait qu'il y'ai encore des détails dont il ne met pas tenu au courant...
J'ai maintenant terminé, rentré toutes les données dans ces appareils, on ma ordonné d'aider à construire un camps, je m'executa mais fait une pause pour vous conter mes nouvelles.
Par Kroknas l'avide de connaissances, sur la légendaire skypea
...Journal de bord...